6 mars à Douala

Aujourd'hui, nous sommes parti à Douala avec Elsi et Jean. Ma tante devait aller faire des examens, alors on a profité pour faire le voyage avec elle et aller acheter quelques trucs à Douala. Bilan : 6 heures environ dans la voiture, dont 2 heures dans les embouteillage à Douala. C'est fatiguant. Et oui, même si on travaille pas, on est fatigué. La voiture nous a fatigué.

A Douala, par contre, nous sommes allés dans quelques magasins, dont un, made in swiss, avec aussi pour certains produit, le prix made in swiss. Là, on n'a pas acheté grand chose, mais nous sommes ensuite allé avec Céline dans d'autres magasins, où les prix étaient plus abordable et là, on trouve vraiment presque tout ce qu'on veut et aussi des trucs design.

Peripétie de la journée, nous avons cogné (mot africain), une moto taxi, heureusement, sans blessé, le phare cassé à la voiture. Alors dans ces cas là, s'il n'y a pas de blessé, tout le monde repart et chacun se débrouille pour réparer sa moto ou sa voiture, quelque soit le fautif, s'il y en a un. Par contre, dans la voiture, Jean et une autre personne, que nous avions prise en route, mettait bien évidemment la faute sur la moto taxi et on peut penser que la moto taxi mettait la faute sur la voiture.

Comme Céline disait, à certains endroits de Douala, à des carrefours où il n'y a pas de feux, on met une centaine de voiture, deux cents moto taxi et comme il n'y a pas de règles claires sur la circulation, ça donne..... des bouchons ou chacun veut forcer (et parfois cogne). C'est comme cela, mais on s'y fait, enfin, c'est plus facile de s'y faire quand on ne conduit pas.

Pour rassurer éventuellement certains, à Kribi, il y a très peu de voiture et peu de circulation. Aux quelques carrefours, il y a des règles implicites qu'il faut se souvenirs (pas forcément priorité de droite), mais on s'y fait facilement.